< Shin Hiroshi.

Description Physique :

Une poupée de porcelaine. Tout comme cet objet si délicat, il avait des traits qui paraissaient incroyablement fragiles mais qui semblaient si parfaitement dessinés, des membres d'une finesse inégalée et un teint plus que pâle. Un visage au menton déterminé. Une bouche, constituée d'une fine lèvre supérieure accentuant l'aspect confortable de sa consœur du dessous, qui, lorsqu'elle daignait s'ouvrir pour un sourire ou un rictus, dévoilait des dents alignées à la perfection d'une blancheur sans reproche. Un nez fin et pointu, digne de celui de Narcisse. Mais ce qui était sûrement le plus surprenant et attirant chez le garçon, ses yeux. Deux billes d'un vert anormalement pâle. Cela lui donnait un regard de dément selon certain, de démon selon d'autres. Rien ne semble pouvoir échapper à ces deux pierres précieuses, elles donnaient à leur propriétaire un air froid et hautain, ne laissant rien transparaître des sentiments qu'il pourrait éprouver. L'extraordinaire couleur n'était qu'encore plus mise en valeur avec les cheveux de jais que possédait le jeune homme. Toujours en bataille, pas de temps à perdre inutilement pour se coiffer, une longue mèche séparait la figure de pierre en deux parties, se déplaçant de gauche à droite selon ses envies. Le cou était de grande taille sans pour autant en devenir disgracieux. Les épaules arrondies étaient porteuses de bras minces, beaucoup plus musclés que ne le laissait croire leur apparence, qui se finissaient par des mains aux doigts semblables à ceux d'un pianiste de par leur élégance et leur longueur. Le torse n'était pas des plus musclés mais ne se laissait cependant pas devenir flasque et relâché, il demeurait juste un tantinet trop maigre. Des hanches étroites, partaient de longues jambes à la fois fermes et tendres qui se terminaient par des pieds possédant les mêmes caractéristiques que le reste du corps. Au niveau de la tenue vestimentaire, Shin n'est pas du genre sophistiqué, il se contente d'un sweet, en général kaki, et d'un jean assez large de couleur noire. Des baskets à talons plats viennent compléter le tableau.

Description Morale :

Froid, hautain, méprisant, et autre synonymes de ces adjectifs sont les principaux traits de caractère de ce personnage. Mais l'homme possède bien d'autres défauts. Hypocrite, traître, lâche, trois mots de plus pour augmenter l'antipathie générale. Rien n'est plus trompeur qu'un sourire, il maîtrise cet art à la perfection. C'est, en bonus, un misanthrope, un égoiste. Il pense d'abord à sa propre survie, la vie des autres ne l'intéresse en aucune façon. Sa manière de penser pouvait se résumer ainsi : Tout le monde doit bien mourir un jour, si ils meurent c'est que leur moment était venu. Etant certain que le sien était prévu que dans de lointaines années, il s'arrangeait pour mettre toutes les chances de son côté. Pour cela, il n'hésitait pas à dénoncer le voisin, accuser les autres d'un crime qu'il aurait commis. Ce type était la meilleure description que l'on pourrait faire d'un 'Salaud'. A quoi peuvent bien servir les gens qui nous entourent si ce n'est de bouclier ?! Certaines personnes n'aiment pas vraiment les jeux, mais quand elles acceptent de jouer, c'est pour gagner. La vie était un jeu difficile, il comptait bien ne pas le perdre. En plus de cette carapace indifférente, distante, qui sait fondre quand le besoin s'en fait urgent, Shin possède un autre vice. Le sadisme. Il est naturellement évident qu'il ne s'attaque qu'à plus faible que soi. Ses proies préfèrées sont les blondinets, de préférence ceux aux yeux bleus, et les chats noirs. A la vue du sang qui s'écoule quand il frappe l'un au visage ou découpe l'autre lentement, il devient comme fou. Mais il a reçu du ciel une grande qualité, l'auto-persuasion. Tous les actes répréhensibles qu'il commet ne sont, de son point de vue, que des rêves bizarres dûs à sa frustration et son associabilité. L'obscurité de la nuit aidant énormément, puisque personne ne pouvait le voir, personne ne pouvait lui rappeler ce qu'il faisait. A quand la prise de conscience ?!

Biographie :

I ] La naissance
# Dur dur le contact avec la réalité :

Un cri s'élève dans l'hôpital. C'est ainsi que l'histoire aurait pu commencer mais le sort en voulu autrement. Et ce, au plus grand désarroi de la personne l'aimant le plus au monde, sa mère. Le sieur Shin ne daigna pas vagir comme le font normalement tous les nouveaux-nés. Les tests post-nataux n'avaient pas conclu à des problèmes de déformation au niveau de la trachée, larynx & pharynx. Et pour cause, le problème n'existait. Est-il réellement qu'un enfant décide de ne pas crier à sa naissance de son plein gré ? Apparemment puisque c'était son cas. Caprice. Déçu d'avoir vu le jour. Après tout, on l'avait forcé à sortir de ce ventre. A l'intérieur, bien au chaud, nourri grâce au placenta, il était bien. Personne pour l'embêter,
l'occasion de s'amuser en frappant sa mère de temps en temps quand la lubie lui en prenait. Etait-ce par vengeance que cette femme avait accouché ?! Pour bien commencer sa vie, on l'avait tiré par le pied, tiraillant son faible corps avec force pour tenter de l'extirper de sa protection. Oui il avait resisté, de tous ses moyens. Mais sa force ne valait rien face à celle d'un médecin spécialiste en la matière. La lutte avait tout de même duré plusieurs minutes avant que sa tête chevelue finisse par sortir de sa tannière. Le cordon ombilical, entourant par deux fois son cou, fut rapidement coupé. Désormais il n'avait plus d'attache, on l'avait séparé à tout jamais de la seule personne à qui il tenait, sans le savoir et sans même le vouloir. Les petits yeux étaient clos, la bouche de même. Des voix hurlaient, sifflaient dans ces oreilles pour lui vriller totalement les tympans.

* Il est mort !

Hurlait sa mère qui trouva encore cette instinct maternel de vouloir tenir dans ses bras l'être, vivant de préfèrence, à qui elle venait d'offrir la vie. Non je suis vivant aurait-il pu répondre si on l'avait doté si tôt de la parole. Mais le silence était son châtiment. Rien, rien ne lui avait été demandé à cette femme. Aucune envie de répondre, de la rassurer par un cri, par des sanglots. Les médecins le secouait, Shin sentait son corps être maltraité, ses petits poumons contractés, son torse palpé par des doigts glacés.

* Son coeur bat ! Il n'est pas trop tard.

S'écria soudainemment une infirmière. La suite s'enchaina rapidement. On amena une couveuse, il fut placé dedans alors qu'on lui attaché un bracelet en plastique au poignet. Des tubes vinrent se placer dans ses narines, une aiguille s'invita dans son corps sans sa permission. Des pas autour de lui, du mouvement. Il ne comprenait pas, il ne le voulait pas d'ailleurs. Mais, l'envie de voir les personnes qu'il allait devoir fréquenter dans les années à venir fut finalement la plus forte. Les yeux s'entrouvrirent, juste le temps de voir une couple effrayé et heureux à la fois. Sa mère paraissait douce et gentille. Sa dernière pensée avant de sombrer dans un sommeil bien mérité.

# Un réveil difficile...

Le réveil fut aussi dur que le nouveau né l'avait pressenti. Mais pour son plus grand soulagement, les divers objets qu'on lui avait inséré avant qu'il ne s'endorme avaient disparu. Sa première action fut de bouger légérement. Vérifier qu'il était bien vivant. En deuxième, ses oreilles finirent par s'ouvrir aux bruits de l'extérieur. Une voix qui chantonnait avec tendresse & amour quelque chose qu'il ne comprennait pas. Mais cette douce mélodie était bien plus agréable à ses oreilles que les horribles cris de la fois précédente. Ouvrir les yeux ou bien encore un peu paresser par peur de voir un monde trop dur
pour lui ? Cette voix... Elle semblait lui ordonner de montrer signe de vie, si envoutante... Succomber à son appel, lentement, laisser ses yeux s'adapter à la lumière crue du dehors. Un visage se dessina peu à peu. De grands yeux kakis qui lui sourient et une bouche aux coins ridés qui faisait de même. Maman ? Malgré lui, un gazouillement de plaisir sortir de ses lèvres qui se tordirent en une grimace qui devait normalement ressembler à un sourire. Ce fut d'ailleurs le seul qu'elle reçut de toute sa vie de la part de son fils unique. Après ce geste incontrôlé, des bruits sortirent à nouveau du grand corps qui se trouvait face à lui :

* Oh ! Tu n'as pas les yeux bleus foncés comme tous les bébés. Normal tu es mon fils, tu es spécial. Tu as des yeux si verts. Oui tu es vraiment un beau bébé. Le docteur a dit que tu allais bien maintenant. Tu ne me feras plus jamais de peur comme ça hein ? Ton père aussi s'est beaucoup inquièté.

L'enfant ne comprenait rien à ce que la femme déblatérait mais son visage se teignait d'une nouvelle émotion. Tristesse ? Ses yeux avaient perdu de leur éclat, son sourire était devenu plus terne, plus pâle. Se rendait-elle compte qu'il ne comprenait pas ? Au bien était-ce juste pour se rassurer ? Sans doute était-il normal de faire la conversation à un nouveau né. Cela ne faisait que quelques heures qu'il était sur
Terre, il ne pouvait pas tout connaître si vite. En guise de réponse, le garçon se contenta de cligner des yeux. Sa mère prit sans doute cela pour une invitation à continuer ses paroles.

* Tu as dormi pendant deux jours entiers. Je n'en ai pas dormi de peur que tu ne te réveilles jamais. Mais l'essentiel c'est que tu sois avec moi. Ton père ne va pas tarder à arriver. Il a été obligé de repartir travailler. Il le doit bien si il veut pouvoir te payer un jour des grandes études. Et peut-être aussi pour un futur petit frère ou petit soeur non ? Ce serait une bonne idée tu ne trouves pas ? Oh je suis ridicule de te parler de ces choses d'adultes alors que tu es si jeune mais je suis si heureuse de te voir. Je suis sûrement la mère la plus heureuse au monde actuellement. Bien que je suppose que nous, femmes, disons tous la même chose lors de ce moment béni.

Eclat de rire sur sa plaisanterie. Nouveau clignement d'oeil. C'était fou ce que cela pouvait faire de bruit une mère. Quand fermerait-elle sa bouche pour le laisser se reposer ? Un nouveau né a besoin de beaucoup de sommeil, elle ne s'était donc pas renseigné ? Et quand est-ce qu'on le nourrissait ? Il avait faim. Pas tout de suite apparemment, la bouche s'ouvrait à nouveau alors qu'une main s'approchait dangereusement de son front.

* Shin... Mon enfant, mon tout petit Shin...

Ce premier mot qui avait été murmuré avec tant de tendresse et d'émotion alors que la main lui caressait le haut du crâne. Shin ? Ses minuscules lèvres tentèrent de reproduire le son mais rien n'en résultat. Mais sa tentative ne passa pas inaperçue. La femme le remarqua aussitôt et décida de le prendre sus les aiselles pour le fixer dans les yeux. Elle lui envoya un magnifique sourire auquel il avait bien envie de répliquer par un crachat. Mais sa salive ne parvenant pas à sortir, le 'petit bout de chou' se retint.

* Tu essayes déjà de parler ? Oh mais c'est qu'il est intelligent mon garçon ! Dis Maman ! Ma... Man... Allez. Ma... Man.

Voyant que Shin ne répondait pas, elle finit par se taire et le plaça sur son épaule, tout en le berçant délicatement. Le mouvement répété qui le faisait se balancer de haut en bas finit par lui permettre de trouver le sommeil avec cette nouvelle indication de taille : Je m'appelle Shin.

Autre chose à signaler ?

Avez-vous bien lu le règlement ? Code Bon by Cora

# Bienvenue chez toi :

Tiré du néant par une voix aigue. Les yeux qui s'ouvrent lentement pour voir qui osait troubler son sommeil. Aperçu rapide d'un personne qu'il ne connaissait pas. Peu élégante serait la chose la plus polie à dire sur cette vieille dame. Son maquillage rouge tomate dégoulinait sur le menton, une magnifique verrue tronait du côté droit du nez, qui était pour sa part, aussi gros et beau qu'une pomme de terre. Non pas qu'elle soit habillée comme une clocharde mais elle paraissait si superficielle. Une femme qui voulait se donner des airs qu'elle ne possédait pas à la naissance. Un doigt épais, couvert de bagues aux fausses pierres précieuses s'approcha pour lui enfoncer le nez. Si cela était censé le faire rire, c'était pour ainsi dire complètement raté. Si il avait eu des dents il l'aurait mordu avec un plaisir non dissimulé. Mais heureusement pour elle, cela n'arriverait que dans les années à venir. Qu'elle soit persuadée qu'il ne la ratera pas. Quoiqu'il n'était même pas persuadé qu'elle méritait sa colère. Il aviserait dans le futur. Pour l'instant il avait à se concentrer sur un autre monstre qui menaçait de le toucher de ses mains impures tout en bougonnant tout bas qu'il était vraiment mignon. Ce fut en se retournant pour échapper à la vision de ses visages affreux qu'il se rendit compte que sa tête était contre le sein nu de sa mère. Par instinct, il se dirigea vers le téton pour se nourrir. Assez avilissant comme position quoi qu'en disent les 'Oooh c'est trop chou' & les 'Quel beau bébé tu nous as fais', mais il n'y avait pas à dire, ça faisait drôlement du bien. Il fallait savoir apprécier ce qu'on vous offrait après tout. Une fois rassasié, le sommeil ne le guettant pas, il décida de prendre son courage à deux mains pour affronter ses regards béats d'admiration devant la petit chose toute fragile qu'il était. Dix longues minutes s'écoulèrent avant que l'ombre d'une occupation intéressante pointe son nez. La porte s'ouvrit brutalement, un homme assez jeune s'approcha, l'embrassant sur le front puis embrassant sa mère. Par déduction c'était donc son père. Quels traits durs il avait, il paraissait si brutal par rapport à sa femme. Mais si il lui permettait d'échapper à ses fous furieux alors il était prêt à le suivre. Fin' il n'avait pas le choix. Ô merveille, son coeur allait se réaliser. Avec bonne humeur, l'homme annonça que les modalités de sortie étaient remplies et qu'ils pouvaient rentrer chez eux tout de suite, avec une boute bouteille de champagne pour faire ça. Bien sûr Bébé ne comprit qu'ils allaient déménager que lorsqu'il vit à nouveau tout ce mettre en mouvement. On le reposa dans son berceau, le couvrant chaudement, sans doute même un peu trop à son goût. En quelques minutes tout était rangé, lavé, prêt à être réutilisé. La hance du panier fut prise et soulevée par une main forte, celle de son père. Tout ce petit monde se hâta vers la sortie. Une fois à l'extérieur, séance embrassades et promesses de se revoir très prochainement & de téléphoner dès que chacun est arrivé chez soi pour être sur que tout le monde allait bien. Landeau placé à l'arrière d'une petite voiture d'un modèle assez ancien et qui ne paraissait pas au mieux de sa forme. Une ceinture pour être sûr qu'il ne lui arriverait pas malheur, assez de peur pour les derniers jours. Le moteur se met en route, un léger vrombissement qui s'accentue au fil des kilomètres, Shin bercé par le mouvement du véhicule. Curieusement, et à son grand étonnement, ses parents ne parlèrent pas de tout le voyage. Respect pour son sommeil ? Fatigue collective ? Il ne le découvrirait que plus tard. L'auto s'arrêta. On le détacha, puis la femme le prit dans ses bras, pour lui dire avec sa voix toujours empreinte de cette sorte de joie qui sonnait parfois si faux en rapport avec son visage :

* Bienvenue chez toi mon Shin... Regarde, c'est la maison de Papa & Maman. Je suis sûre que tu vas t'y plaire.

Ne prêtant attention aux paroles, le regard fixé sur cette bâtisse qui paraissait si minuscule par rapport à celle d'où il venait de sortir. Petit mais non dénué de charme. Tant qu'on s'occupait de lui donner à manger et qu'on le laissait dormir dans un coin rien qu'à lui, il se fichait totalement du reste. Et sur ces paroles réconfortantes il s'en alla au pays des rêves.

II ] L'enfance.

Déjà douze longues années que son existence avait commencé. Un 15 Novembre à ce qu'il paraissait. Peut-être parce qu'il était né dans ces périodes de froid qu'il aimait particulièrement l'hiver. Voir les flocons tomber lentement du ciel pour venir s'écraser sur le sol. Il ne s'en lassait pas. Des heures et des heures durant il observait ce spectacle gratuit qui lui était offert. Cette saison magique lui permettait également de se promener dehors sans protection autre qu'un simple T-Shirt et d'un jean usé. Curieux pour un démon maîtrisant le feu. Tout n'était que paradoxe chez lui. Il haissait devoir fréquenter toutes ses personnes qu'il n'appréciait pas et réciproquement. Il avait bien quelques amis, mais en réalité ils ne leur servaient que d'alibis. Soupir. Décembre était arrivé mais pourtant pas le moindre signe de neige. Que faisait-elle ? Dire qu'il n'avait attendu que cela toute l'année et finalement le ciel lui faisait défaut. Patience, dans la nuit quelque chose finirait par tomber. Shin l'espérait en tout cas. Tiré de son rêve de monde blanc par une voix stridente :

* Viens vite manger mon petit Shin, ça va refroidir !

Toute la tendresse et la douceur avait disparu de cette voix marquée par des relations amoureuses vouées à l'échec. Elle était encore mariée avec son père mais cela faisait un bout de temps que leur relation était strictement platonique. Et encore, cela relevait du miracle si ils se parlaient durant plus de deux minutes en une journée. Il n'était pas rare de voir défiler amants & maîtresses de chacun dans la maison. Se faisant passer l'un et l'autre pour de simples colocataires ayant adopté un enfant orphelin. Mais le garçon n'en avait pas souffert plus que ça. Il avait toujours aimé le silence, la quiétude. Il ne se souciait pas de ce que pouvait faire les autres si cela ne le concernait pas directement. Et puis malgré tout ce qu'ils pouvaient dire, il savait pertinemment que ses parents ne pouvaient rien lui refuser. Par culpabilité ou par amour ?! L'essentiel restait qu'il obtenait ce qu'il voulait. Pas besoin d'amour pour se sentir bien. Pas besoin d'être gratifié pour exister. Trainer des pieds jusqu'à la salle à manger qui servait également de salon. Oui, tout était vraiment petit. Mais il s'y plaisait bien dans cette maison, son royaume, sa demeure & son refuge. S'installer à table en silence, répondre par des signes de têtes positifs ou négatifs aux rares questions qu'on pouvait lui poser pour tenter de se conforter dans l'impression d'être une famille. Le dîner ne durait jamais plus de dix minutes. Après cela c'était à chaque fois le même rituel. Le paternel qui ébouriffe les cheveux de son fils avec un sourire puis prends sa chaise pour se placer devant la télévision. La mère s'occupe de la vaisselle & Shin retourne dans sa chambre observer les étoiles qu'il rêve de pouvoir un jour atteindre. Depuis quelques temps il sortait la nuit sans que personne ne s'en rende compte. La femme lui répétait toujours que c'était dangereux de traîner seul mais les conseils, il ne les écoutait jamais. Rentrant généralement vers minuit-une heure dans son lit, l'esprit remplit d'idées toutes plus sombres les unes que les autres, songeant à toutes ces choses qu'il pourrait faire le lendemain, dans les semaines et dans les années à venir. Comblé, cèdant dans un sommeil malhonnêtement heureux.

=) je t'aime déjà toi

xD

tu vas faire une longue histoire ? steuplaît non, j'aurais la flemme de lire XDDD

On neeeeeeee...
Touche pas à ma Chérie, mon Ange XD

Tu fais deux pas en arrière ou je te mords XD

Welcome Shin-chooooou <3

Bienvenue =P

Bon courage pour la suite de ta fiche =)

J'ai hâte de lire l'histoire :p

Arrêtez le flood =D

Merci à toutes Mesdemoiselles =]
J'ai fini, merci pour le temps que vous allez prendre pour lire.

...

Oô

J'ADOOOOOOOOOOOOOOOOOOORE I love you

*mode groupie on*

Lady casse-toi ! xD
*reste sur place et montre les dents*
je suis déjà pédette, tu vas pas m'ôter le plaisir de faire la groupie sur un mec nan Oô ?
nyuuuuuuu

What a Face

réponse à Shin : de rien
XD

* Ce n'est pas du flood Cora, je réponds juste à la prez terminée de Shin =D * excuse bidon XD * *

Bon alors :
Shin : C'trop beau, mais j'te l'ai déjà dit ! ^^
Arianne : Couchée où j'te mords pas XD
Mon Ange : Toi, tu me cherches des noises XD

Hannnn !

Le flood BORDEL U.U

Fiche excellente, validé =P